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Nos victimes de violence sexuelles sont souvent très jeunes. Il y en a qui arrivent et qui n'ont même pas l'âge de 10 ans. Ça fait plus de dix ans que nous nous engageons au sein de FEPSI. Mais souvent je pleure pour ces pauvres filles. Je n’arrive pas à comprendre comment on peut agresser un enfant. L'enfant est le symbole de l'innocence. Le jour où j'ai inscrit une de nos victimes, qui avait été absente pendant trois ans dû a un grave trauma, dans l'école locale, j'ai pleuré ... de joie.

Maman Elise

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Plus d'information sur la problématique

Temoignages

Puisque l’on perd toute la sécurité de vie en quittant sa maison, nous n’abandonnerions notre foyer que lorsque notre vie est en danger de façon immédiate. Néanmoins, nous ne savons pas comment nous survivrions le lendemain. Nous préférons vivre entre les milices et accepter les risques qu’implique une telle vie qu’abandonner nos champs. Nous avons peur de ne plus pouvoir nourrir nos enfants.



Maman Kahindo



 

Un homme vivant avec le VIH a fait connaissance avec une jeune femme, née avec le VIH, dans notre association NURU. Les deux se sont mariés. Deux ans après, ils ont eu un enfant. Après 3 mois, j'ai pu leur donner la bonne nouvelle que leur enfant est séronégatif. L'équipe a fêté avec eux. Très souvent, ils nous visitent dans notre centre pour montrer leur bébé, adoré par tous. Il est possible de vivre avec le VIH mais il faut bien encadrer les patients. Je suis fière de pouvoir leur donner cet encadrement. 

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Docteur Gétou
 



 

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